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LA MACHINE DU DANCE  HALL   GUINEEN 

De son vrai Mohamed Seydou Bangoura est l’une des révélations de la musique urbaine de guinée.
Faisant un genre musical très riche en couleur, singleton impose des lyriques engagés sur des ridims ragga dance hall. Le jeune talent dont la force se trouve dans la rapidité et le style a fait ses débuts dans les années 1998 quand le groupe kill point qui l’a inspiré était en pleine métamorphose.
La rencontre de BENEDI il y a quelques années change le cours des choses pour ce grand admirateur de ADMIRAL T. depuis lors tout s’enchaine pour celui qui fait un ton singlé.
 Avec la participation de Baba samba, Bob dyna, mighty du groupe Silatigui et Teoni de la Guadeloupe son premier opus de 16 titres intitulé gnakry dance hall dont le titre phare fut Moto taxi a vu le jour le 27 février 2010 au palais du peuple aveCc un double concert.
Depuis, celui qui a été meilleur espoir de l’année lors de la 9e édition de la k7 d’or enchaine entre singles et concerts.


A chacun son talent Baba Samba la nouvelle revelation de la musique urbaine en Guinée
Jeunes artiste, Mamadou Samba Sow est l’une des plus grandes révélations du Reggae Guinéen. Il fait un genre musical très riche et s’impose grâce à son talent et ses textes qui parlent le plus souvent du quotidien que vit le jeune guinéen. Exceptionnellement Encouragé par sa mère, il embrasse la musique dès  son enfance et a préféré de faire passer ses messages par cette voie qu’il pense judicieuse pour réveiller la conscience des jeunes guinéens. Ce jeune prodige du reggae guinéen a présenté son premier geste musical intitulé ALLAH SEMBE ‘’ la puissance divine’’ le 26 novembre au palais du peuple et le 27 novembre à la plage de ROGBANE. Certes le premier concert n’a pas fait le plein mais le deuxième a connu la participation d’un monde fou  

Mamadou Samba Sow Alias baba samba, est un artiste auteur compositeur, qui fais du reggae du dance hall en un mot de la musique urbaine.                                                                                                             Baba que tout le monde connait signe de’’ sagesse’’ utilisé dans presque toutes nos familles africaines. Le  prénom  samba qui signifie en langue soussou ‘’apporte moi quelques choses’’ alors qu’il vient avec des messages il apporte des messages à son peuple.                                           
   
 Baba Samba a commencé la musique depuis son enfance en ce temps, il entendait sa mère interpréter les anciennes mélodies comme celles du Bembeya Jazz et c’est ainsi que ce géni  eu cette passion pour la musique. Il a chanté parce qu’il avait beaucoup de messages à faire passer, beaucoup de choses qui le choquaient comme le sous emploi, la mauvaise gouvernance, le mauvais comportement des politiques vis-à-vis du peuple. Donc il se sentait beaucoup concerné par tous ces faits et c’est pourquoi il  s’est  lancé dans la musique.

Grace a son courage te au soutient de la famille Baba samba est l’un des hommes les plus redoutables de la musique urbaine en Guinée.                                                                                                                                                                        


la biographie d'Elie Kamano

Né en 1984 à Guékédou, Elie KAMANO commence la musique à l’âge de 11 ans. Tout comme bon nombre d’artistes en Guinée, il s’exerçait en chantonnant des titres de certains artistes, célèbres à l’époque. Par sa nature justicière, on pouvait déjà comprendre en lui que la musique urbaine serait le genre dans lequel il se plairait le mieux.
Avec l’avènement du Rap en Guinée dans les années 1990-1992, Elie KAMANO crée son groupe de Rap qu’il fera appeler PNN (Positive Négro Natural). Dans son évolution, ce groupe participera cinq (5) ans plus tard à la première compilation Rap en compagnie des groupes Kill Point, Raisonnable Djeli, Syndicat, Silatigui et bien d’autres encore. Malgré le succès connu par cette œuvre phonographique, Elie KAMANO estimait ses ambitions au-delà des limites guinéennes; ainsi, l’idée d’aller effleurer d’autres cieux lui viendra à l’esprit. C’est donc dans le souci de rechercher quelque chose de meilleur à proposer au public guinéen que le jeune Elie KAMANO se rendra en Côte d’Ivoire en 1998. De toute évidence, nous conviendrons que "Tout ce qui brille à distance, n’est pas forcement de l’or" et cela, l’aventurier musical s’en apercevra à ses propres dépens.
Au prix d’une galère qui ne dira pas son nom, il réussit à enregistrer un album intitulé "Entre deux frontières". Malheureusement, la Guinée n’aura pas la chance de découvrir cette œuvre musicale.
Revenu au bercail en 2000, il réalise un single intitulé " Hommage à Cellou". Cette œuvre qui sera la première pour la Guinée, est dédiée à la mémoire d’un de ses amis, décédé de façon injuste.
Malgré la souffrance endurée dans sa première aventure, Elie KAMANO bravera une deuxième expérience. Cette fois, son choix portera sur le Sénégal. Les leçons de la vie sont multiples et variées, c’est pourquoi l’on dit souvent que "Qui vivra, verra". Le courage ayant forcement un prix, le jeune "guerrier" arrivera en Guinée, ruiné jusqu’au dernier centime pour une économie destinée à la réalisation d’un titre mais avec en main, l’album "Lent et sûr". Dans celui-ci, un vibrant hommage est rendu à notre compatriote Amadou DIALLO, froidement abattu par des policiers aux Etats-Unis d’Amérique. D’où le titre "Diallo-Diallo" qui connaîtra un succès sans précédent et fera prendre conscience dans le même temps à Elie KAMANO qu’il est plutôt fait pour le Reggae et non pour le Rap.
Totalement rangé aux côtés des couches défavorisées, Elie KAMANO débute une carrière artistique qui atteindra très vite son paroxysme. Il réalise qu’il a maintenant une véritable "arme" qui lui permettra de mener son combat avec l'ardeur qui se doit.
En 2005, il enregistre l’album "Trafiquant" qui connaît les prestigieuses participations du reggaeman panafricaniste Tiken Jah Fakoli et du groupe de musique traditionnelle de Guinée "Espoirs de Coronthie".
Désormais perçu comme étant une valeur sûre de la musique guinéenne et même africaine, Elie KAMANO réalise de nombreux concerts dans le pays et dans la sous-région. Il participe dans le même temps à de grands évènements africains soutenus par les Organismes Internationaux de la promotion culturelle Le Festival de Rap Africain "Le Rap Aussi" (Contacts Evolutions - Guinée), "Hip hop Awards" (Optimiste Productions) et "Afrikakeur" au Sénégal et tant d’autres encore.
Engagé à jamais dans un combat en faveur de l’équilibre socio-économique et politique en Guinée et en Afrique, Elie KAMANO étonne à plus d’un titre.
2006 sera pour cet artiste, l’année de la consécration avec la sortie de l’album "Djélimankan". Dans cet opus, Elie KAMANO s’en prend farouchement aux abus d’un Régime dictatorial qu’il dénoncera jusqu’à la chute.
Ce parcours fortement enrichi par de nombreuses années de dur labeur au service d’une idéologie purement populiste, permettra à Elie KAMANO de décrocher de nombreux prix sur la scène musicale nationale guinéenne. Chemin de succès faisant, il sera victime d’un accident dans lequel il perdra son frère du nom d’Abraham. Elie KAMANO assistera impuissant au pouvoir de l’argent sur les valeurs humaines dans le milieu sanitaire guinéen. Parti à Dakar (Sénégal) pour suivre son traitement, il reviendra avec un maxi single intitulé "Victime" qu’il dédiera à la mémoire de son frère disparu dans ce tragique accident. A travers le titre "N’dandan" ("soigne-moi" en langue soussou) la couche médicale paiera chèrement l’esprit de priorité de l’argent sur la santé du patient.
Il faut dire que le maxi single "Victime" connaîtra un succès tel que la popularité de Elie KAMANO sera fortement accrue. C’est d’ailleurs cette situation qui lui vaudra le titre de "Général" comme pour dire qu’il est au sommet du reggae guinéen. Désormais ce titre sera joint à son nom pour en venir à l’appellation Général Elie KAMANO.
Précisons par ailleurs que le Général Elie KAMANO frôlera à quelques millièmes près la finale du prix RFI découverte 2008 organisée en Guinée.
Son dernier opus "Où va l’Afrique" confirme l’élan sûr du Général Elie KAMANO dont le talent se révèle désormais sans contexte au service du devenir de l’Afrique. Elie KAMANO compte aujourd’hui parmi les plus grandes valeurs du reggae en Afrique.
En Guinée particulièrement, son public est estimé à plus de 90 pour cent au niveau de la couche juvénile sans compter les autres catégories sociales qui retrouvent assez d’intérêt dans sa musique compte tenu de l’optique qu’il donne à celle-ci.




la biographie du groupe instinct killer


  Créé  en 1997  sous l’initiative d’un jeune chorégraphe communément appelé Fodor. Leur nom aurait pu d’ailleurs signifier Serial Killers (tueurs en série).A un moment de calvaire certains éléments décidèrent de se retirer pour faire un autre groupe de danse qui a été le groupe black killers.après la rencontre du BiG manager SIAKA  KEBE alias BIG DADA le alla au bout du top niveau. C’est ainsi que INSTINCT  KILLERS a accumulé des trophés en  espace  de quelques notamment :
Cassette d’or  Meilleur Groupe de danse Hip Hop  Guinée en 2004
 Meilleur Groupe de danse Hip Hop Battle  2005 2006
Meilleur Groupe de danse Hip Hop choc des fusions 2005 2006
Meilleur Groupe de danse Hip Hop 1er Edition de break international Sénégal-Guinée en 2006 Meilleur Groupe de danse Hip Hop  Edition Battle Break international Gorée-Sénégal en 2007 Meilleur Groupe de danse Hip Hop  Djémbé  d’or  en 2007.
Face à tous trophés les sénateurs de la danse hip hop guinéen se décidèrent de tracer un nouveau  chemin qui est le rap et la danse. Cette a poussé le leader vocaux à s’imposer dans le premier album intitulé NOUVELLE EXPERIENCE.cet album a connu un succès immense mais le revenu était lamentable.
Longtemps trébuché sur ce nouveau chemin, la maison de production MEUR LIBRE PROD s’est engagée de venir en aide pour maintenir l’équilibre de ces danseurs.
BIG DADA et ses danseur juge nécessaire de signer un contact dont jusqu'à présent la nature de ce contrat reste méconnu .cette action a permit à FIskila et LIL Sakho de faire un nouvel album intitulé AKHRIL DJAMAN  

Le groupe de danse instinct killers emboite les pas de singleton

Comme prévu par le label « meurs libre prod »maison de production du groupe instinct killers, le concert  dédicace du nouvel album « akhril djaman » du groupe légendaire de la danse hip hop guinéen a eu lieu le dimanche 15 mai au palais du peuple à 16h.
Cette fête de dédicace a connu un léger report  de 2h, ce suite au meeting  imprévu tenu par le professeur Alpha Condé le président de la republique.Au moment où les spectateurs s’apprêtaient à faire le show dans un concert tant attendu la police et les bérets rouges ont encerclé  le palais du peuple. Comme la jeunesse est prioritaire chez le P. Alpha Condé le meeting a  été précipité  pour favoriser la couche juvénile.
A 16h déjà la salle des congrès du palais était  archicomble .Et nombreux sont  les  spectateurs qui sont restés à l’attente pour le second spectacle de la même journée.
Ces  fans, rassurés  par le comité d’organisation de la tenue du second  concert, sont toujours resté à l’attente. A  la fin du  soi-disant premier spectacle les responsables du label « meurs libre prod » ont ordonné aux vigiles de laisser les  derniers  spectateurs entrer dans  la  salle des congrès.
Contrairement à ce qu’ils ont annoncé,  il n’y a pas eu de second concert. Une source proche de la structure organisatrice de l’événement indique que cette attitude a été adoptée par le label «meurs libre prod » pour éviter de s’acquitter de la location de la salle pour le deuxième spectacle.
Du coup, à l’arriver des dernier fans, il n’y avait même pas  de la place debout  dans la salle. Pour cause, elle était pleine comme un œuf. Le surpeuplement eut pour conséquences l’étouffement de certaines spectatrices, blessure ou entorses chez d’autres.
 Les vigiles se sont transformés  en croix rouge pour évacuées les personnes dans un  état critique. En dessus de tout cela un gendarme a été arrêté par ses collègues pour avoir amputé un jeune spectateur. Après le spectacle des centaines de fauteuils arrachés ont été découvert.
En ce qui reste clair ce spectacle était au centre des coups de théâtre.



LA BIOGRAPHIE DE SOUL BANG'S

Soul  Sang’s  est le diminutif de  Souleymane Bangoura, le surnommé «  RNB BOSS »  par  ces fans.
Né le 14 novembre  1990, Soul  Bangs   a commencé la musique à l’âge très mineur depuis l’école primaire a travers ces amis dans les groupes  de rap .Mais  ce jeune garçon était,  doué  qu’il s’est rapidement démarqué de ses amis qui prenaient la musique étant un passe temps.
Après la mort de son père il a connu un moment sombre dans sa carrière musicale. Et  une fois ce temps de calvaire passé, L’RNB BOSS  s’est  encor  relancé en faisant des titres d’imitation imitant les grands artistes  au monde.
Après  avoir  publié  plusieurs  remix  des  glands  artistes  Soul  Sang’s  a eu des   à  faire beaucoup  de featuring  avec  des ténors du hip hop Guinéens qui sont entres autres  Phadouba , Mamdi  du groupe silatigui ,Amiral 6 Galon   y  compris le King   reggae man guinéen  Takana zion.
Au cours  de la préparation  de  son album il a effectué son  premier  voyage  sur le Sénégal  en accompagnant le groupe de danse BLACK KILLERS  pour  une compétions  de  danse hip hop. Arrivée au Sénégal, le patron de  RNB  guinéen  a emporté toutes les vedettes invitées à ce concours à travers son talent d’où il a fait la connaissance du célèbre rappeur sénégalais Didier Awadi et beaucoup d’autres rappeurs étranger.
De  retour en Guinée, Bang’s  a eu beaucoup de polémiques autour de lui concernant la production de son album. Plusieurs maisons de  production ont été  courtisées mais sans suite favorable. Finalement  la maison de production ADAFO communication  a décidé de prendre les choses en main pour mettre l’album  Dimedi sur le marché du disc guinéen.
C’est  au  samedi 28 mars que l’album Dimedi  le  premier album de Soul Bang’s a vu le jour à la plage rogbanè de taouyah
Cet album est considéré comme point de départ du jeune artiste de la musique urbaine de Guinée.      



la biographie du groupe de rap  guinéen Deegg -J force 3
Ce groupe de rap créé en 1997 dans les coffrets de l'un des quartiers les plus populaires de la commune de kaloum à conakry est aujourd'hui parmi les tenors du hip hop Guinéen.

Degg – J Force 3  qui signifie « vérités concrètes combines aux trois (3) force incarnant: le juste, le bon et le vrai » était composés de 3 jeunes lors de ces deux premiers  albums match alla paru en 202 et reste indépendant qui a vu le jour en 2009.
a travers des 2 albums, les trois rapeurs dont Moussa Camara alias 2pac ,Moussa M'baye et abdoul  Hamed M'baye alis Skandal ont rafflé tous les prix,comme  recompences attribuées aux meilleurs du hip hop.
 
En perpétuelle recherche de la perfection, ces jeunes talents puisent leur inspiration dans le terroir du continent africain et s'efforcent d'éveiller les consciences dans chaque thème abordé dans leurs œuvres. Sachant que dans la vie il y a DES HAUTS ET DES BAS, tout en s'engageant corps et âmes dans les combats que chaque jeune africain doit mener pour l'amélioration des conditions d'existence des siens et pour en finir avec les fléaux qui déciment les populations, ils n'hésitent pas à pousser un CRI DU CŒUR ;

Afin de coller d'avantage à la réalité qu'ils vivent et traduisent dans leurs textes, ils allient majestueusement la musique traditionnelle à toutes les sonorités qui valorisent le hip-hop en général.
Après la sortie du 2eme album dénommé reste indépendant le groupe a encore raflé 4 titres sur 14 dans l'évènement qui récompense chaque année les meilleurs du hip hop guinéen  communément appelé cassette d'or.et cela cionsida au depart du 3eme élément Moussa Camara alias 2pac qui s'est enfuit lors de leur tourné en europe.
Aujourdhui la famille M'baye étant la seule à exercer  les activités de ce groupe, le 3eme élément 2pac n'a jusqu'à présent pas de trace.

voici quelques détails des renseignements sur les 3 éléments du groupe
 2 PAC(Moussa CAMARA)
  Date de naissance : 15 octobre
Signe astrologique : Balance
Passe-temps : Cinéma, Promenade
Mes idéaux : la non-violence, l’amour des enfants, le combat contre les guerres.
BOOR SKANDAL 9½ (Abdoul Ahmad M’BAYE) les frères M'Baye
Date de naissance : 30 août
Signe astrologique : Vierge
Passe-temps : Musique
Mes règles / idéaux : dénoncer et combattre les maux et tares qui ternissent l’image de notre société ; prôner l’amour et la vérité en toute circonstance.
MOUZIS (Moussa M’BAYE)
Date de naissance : 1er janvier
Signe astrologique : Capricorne
Passe-temps : Musique, Lecture
Règle de vie : Le respect de son prochain





LA BIOGRAPHIE DU GROUPE BANLIEUZ'ART


Ce groupe du hip hop guinéen a été créé en  2004 sous la complicité de deux gosses talentueux de la banlieue de Conakry, Konko Malela et King  Salomon,  leur  rencontre fut du début d’une histoire musicale tout en voulant être la voix de tous les enfants de la banlieue d’où le nom banleuz’art.Pour ces deux jeunes Banlieuz’art signifie l’art de la banlieue

L’union de ces deux talent leur a donné l’envi dévorant à aller plus loin. Ces deux jeunes habitants d’un quartier d’où les jeunes n’ont pas accès au bonheur ont décidé de s’exprimer au nom de toute une jeunesse dans un calvaire total.
Après un bon moment de calvaire dans la vie musicale, les deux M C ont accumulé des âges dans l’artistique et leur engagement son originalité de la façon exprimer la rage et la mauvaise influence des politiques le quotidien des citoyens. A cet titre, ils expriment aisément sur des beats reggaes, dance hall, hiphop bref ce genre dit d’afro beat qui trouve toute son originalité dans le quartier populaire de la banlieue. Nos MC’s manient avec technique leur propos dans un dessein de sensibiliser, amuser et éclairer les politiques qui d’ailleurs sont les vrais destinataires des messages qu’ils livrent. Leurs credo : représenter sur tous les coups les bas peuples. Car, pour ce crew, la génération dont les membres se réclament n’est pas celle des muets. Refuser donc d’être réduits au silence sous le poids de la corruption et des xénophobies sociétales.
BANLIEUZ’ART chante, toaste, rap et pose des lyrics bétons sur des beats hargneux exprimant ainsi la foi de ces MC’s en la musique.
En 2009   Banlieuz’art participe à la première compilation  urban africa qu’organise la maison de production Meurs libre prod  d’où le groupe a eu le prix du  meilleur groupe espoir de l’année avec le titre qui a beaucoup aiguillé les mélomanes de la Guinée  police.
Et  2010  Banlieuz’art sort son premier album intitulé Konfa Yakoun qui pulvérisa le record des ventes en Guinée.
En féviers 2010 Banlieuz’art rafle 4 prix sur 14 lors de la cassette d’or d’où le groupe  est élu meilleur groupe du hip hop de l’année dont k7 d’or. Le groupe chante en français, anglais, wolof, Poular, malinké et soussou.